Si vous vous sentez concerné par la perte de motivation, de vos repères et que vous n'avez plus confiance en vous et votre avenir, je peux vous aider à revivre la vie que vous souhaitez
L'interview ci dessous m'a fait réfléchir sur ce que je pouvais vous apporter en tant que coach.
La première réflexion est "ayez confiance en vous" .Vous êtes vous et les problèmes actuels doivent être dissociés de vous car personne n'a la possibilité d'agir sur ces contraintes extérieures .La confiance en soi est un muscle qui se travaille, et je vais vous donner quelques conseils que vous pourrez appliquer pour vous rebooster.
conseils de la coach:
Tous les soirs, pensez à votre journée et écrivez sur un carnet votre kif du jour, ce qui vous a fait plaisir, même une toute petite chose......
Tous les matins, sur un autre carnet écrivez un"JE VEUX", ne vous posez pas la question si c'est réalisable ou pas , REVEZ . Ce" je veux" mettra en route votre S.A.R., une partie du cerveau qui va s'activer et va vous permettre de voir ou d'ouvrir des portes qui ne semblaient pas exister avant.
Pour vous expliquer simplement comment fonctionne le S.A.R,
lorsque quelqu'un aime une voiture et que c'est la voiture de ses rêves, il la repère partout , sur la route , dans les journaux ou autres.. Celui ou celle qui n'est pas intéressé par cette voiture ne l'aura même pas remarquée. Il est donc important que vous formuliez clairement ce que vous voulez pour que votre S.A.R vous alerte sur ce qui est visible et que vous n'aviez pas vu car cela n'avait pas été programmé dans votre cerveau.
conseils de la coach:
Mettez en application dès aujourd'hui ces deux propositions, relisez régulièrement vos écrits , dites à haute voix régulièrement ce que vous VOULEZ vraiment, programmez votre cerveau sur du positif et sur ce que vous voulez.
Vous pourrez me dire ce que ça a changé chez vous , n'attendez pas un retour immédiat , il faut plusieurs semaines pour que vous sentiez les choses changer.
Je l'ai testé, je l'ai vécu et continue à le vivre et je vous certifie que cela fonctionne!
Faites vous confiance!
SUITE AU PROCHAIN POST
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Dominique
#acceptationdesoi #modedevie
INTERVIEW - Voilà bientôt un an que les étudiants suivent un enseignement à distance. Le docteur Caroline Combes, médecin en chef du service de santé universitaire Lyon 1 revient sur les conséquences de leur isolement.
Certains vivent depuis plusieurs mois dans leurs petites chambres au sein de résidences universitaires, d’autres ont passé Noël loin de leurs proches. Voilà bientôt un an que les étudiants suivent un enseignement à distance. Pour certains, le lien social s’est considérablement fragilisé
De quelle manière la crise sanitaire affecte-t-elle les étudiants? Le docteur Caroline Combes, Caroline Combes, médecin en chef du service de santé universitaire Lyon 1, répond aux questions du Figaro.
LE FIGARO -. A-t-on tendance à sous-estimer le mal-être étudiant?
Caroline COMBES -. Nous sommes en train d’en prendre conscience. Actuellement, les gouvernances sont mobilisées pour acter le fait que les services de santé ont besoin de moyens et que l’état psychologique des étudiants est un sujet important.
La crise sanitaire a-t-elle fait apparaître des pathologies particulières?
Avec la crise, le confinement provoque la démotivation et la perte de liens sociaux
«Le lien social que l’on forge lorsqu’on est étudiant, une période de vie marquée par les rencontres amicales et amoureuses, est rompu» Caroline Combes, médecin en chef du service de santé universitaire Lyon 1
Quels symptômes observez-vous chez les plus fragiles?
En période d’examen, nous constatons de l’anxiété: la gorge qui se serre, des troubles du sommeil, l’hypervigilance, des tremblements et parfois des troubles du comportement alimentaire. J’ai le sentiment qu’en dehors de ces périodes d’évaluation, les motifs de consultation sont la dépression. J’entends: «J’y arrive plus, j’arrive plus à me lever, je ne m’habille plus, je n’arrive plus à lire». Je constate alors une perte d’énergie, d’élan vital, cette énergie propre aux jeunes qui est toute-puissante en principe.
Constatez-vous une différence entre le premier confinement vécu par les jeunes et le second?
La communauté étudiante n’était pas à part lors du premier confinement. Cette fois, elle l’est. Beaucoup de citoyens peuvent encore travailler, se mouvoir et maintenir certaines activités. Les étudiants, eux, n’ont plus accès au sport, suivent des enseignements à distance depuis bientôt un an. S’il y a parfois des TD en présentiel, cela reste rare.
Le lien social que l’on forge lorsqu’on est étudiant, une période de vie marquée par les rencontres amicales et amoureuses, est rompu. L’isolement est compliqué à gérer. Ajoutons à cela des problématiques structurelles, familiales, personnelles. Et même, des problématiques financières que l’on observe particulièrement chez les étudiants étrangers. Cela peut, encore une fois chez des étudiants vulnérables être un facteur précipitant de trouble anxio-dépressif très fort.
«La déstructuration de leurs journées, chez certains, entraîne la perte de motivation »Caroline Combes, médecin en chef du service de santé universitaire Lyon 1
Combien de temps les plus fragiles peuvent-ils encore supporter cette situation?
C’est difficile à dire. Les étudiants seront les derniers à être vaccinés. Lors de la deuxième vague, ils avaient été fustigés: on entendait partout qu’ils étaient responsables de la transmission du virus. C’est donc une population sous haute surveillance et donc, stigmatisée. S’il y a une troisième vague, cette stigmatisation pourrait s’intensifier. Je suis franchement inquiète parce qu’ils ont besoin de revenir sur les campus, d’apprendre, d’avoir un rythme, une routine. La déstructuration de leurs journées, chez certains, entraîne la perte de motivation.
Quelles séquelles les jeunes garderont-ils de cette crise?
Je constate des arguments de décrochage qu’il n’y avait pas l’an dernier. Les étudiants me disent: «J’ai raté mon premier semestre, je vais mal, je ne vais pas réussir l’année mais je viens vous voir parce que j’ai besoin d’aide». La situation permet des prises de conscience mais elle affecte la réussite des examens. Elle accroît les risques de décrochage, de non-obtention du diplôme et in fine, l’inquiétude de ne pas trouver un travail.